photo L'Institut de l'Image - Orson Welles

L'Institut de l'Image - Orson Welles

Cinéma, Festival généraliste

Aix-en-Provence 13090

Du 06/06/2024 au 30/06/2024

L’Institut de l’image vous propose de revenir sur l’œuvre de l’un des plus grands génies du 7e art, dont le nom résonne comme une promesse de magie et de feux d’artifices visuels : Orson Welles, l’homme qui a révolutionné le cinéma en 1941 avec son premier film (Citizen Kane, réalisé à 25 ans), plongé l’Amérique dans l’effroi avec une pièce radiophonique (La Guerre des mondes, 1938), réalisé les meilleures adaptations de William Shakespeare sur grand écran, et encore, comme l’écrivait un jour Jean-Luc Godard «Le seul avec Griffith (…) à avoir fait démarrer ce merveilleux petit train électrique auquel ne croyait pas Lumière. Tous, toujours, lui devront tout". Jeudi 6 juin ● 14h30 Citizen Kane ● 17h Le Procès ● 20h Terrestre : Géographies of Solitude Vendredi 7 juin ● 14h La Splendeur des Amberson ● 16h Le Criminel ● 18h La Dame de Shanghai ● 20h Macbeth Samedi 8 juin ● 14h30 Othello ● 16h30 Dossier Secret ● 18h30 Vérités et mensonges ● 20h30 Citizen Kane Dimanche 9 juin ● 14h30 La Soif du mal ● 17h La Splendeur des Amberson Jeudi 13 juin ● 14h La Dame de Shanghai ● 16h Othello ● 18h30 Festival d’Aix : Sandra ● 20h45 Vérités et mensonges Vendredi[...]

photo Cycle à l'Institut de l'Image - Evasions#2

Cycle à l'Institut de l'Image - Evasions#2

Cinéma

Aix-en-Provence 13090

Du 30/06/2021 au 31/07/2021

// Au programme // ● Le ciel peut attendre – Heaven Can Wait (USA, 1943) 1h53, réalisé par Ernst Lubitsch avec Gene Tierney, Don Ameche, Charles Coburn… Henry Van Cleve, un homme qui aimait un peu trop les femmes, se présente spontanément à la porte de l’enfer le jour de sa mort, convaincu que le paradis lui sera refusé. Lucifer, très affable, l’accueille, et ensemble, ils remontent le cours de l’existence du séducteur pour décider s’il est vraiment indigne du paradis... ● Stromboli – Stromboli, Terra di Dio (It., 1950) 1h45, réalisé par Roberto Rossellini avec Ingrid Bergman, Mario Vitale... Assignée dans un camp de réfugiés, Karin, une jeune Lituanienne, ne peut quitter l'Italie de l'après-guerre. Dans ces moments difficiles, elle accepte d'épouser Antonio, jeune pêcheur de l'île volcanique de Stromboli. Mais la vie sur l'île devient rapidement un enfer pour elle… ● Juliette ou la clef des songes (Fr., 1951) 1h32, réalisé par Marcel Carné avec Gérard Philipe, Suzanne Cloutier… Michel a volé par amour. Dans sa prison, il songe à Juliette, la jeune fille qu’il aime et qui, probablement l’a oublié. Au cours de sa rêverie, une lumière inconnue envahit sa cellule[...]

photo Uppercut - Collectif Gena

Uppercut - Collectif Gena

Musique, Spectacle

Marseille 13000

Le 30/08/2021

Ici, la boxe anglaise - le "noble art" - n'est pas un prétexte ni un emballage, elle est l'objet même, le sixième personnage de la pièce. Un ring - Les silences, les coups, la respiration des adversaires, sonore. Un pas de côté, deux pas en avant, une musique, un jeu de jambe, une danse. Des ombres. Un micro. Une cloche, 1 minute, et l’histoire recommence. Autour des deux protagonistes, la curée - Le public qui se fait face prend parti, se regarde frémir, se lever, chanter, et hurler après celui qu’il veut voir tomber. Celui qu’il porte est l’image de lui-même : défiant la peur, triomphant de tout, à la force de ses poings. Les histoires de boxeurs ont habité et fasciné la musique, le jazz, le cinéma. Et comment ne pas le comprendre ? Chaque grand champion reflète l’histoire des peuples. Mohamed Ali, Young Perez, Joe Louis, Frazier, Cerdan… Autant de têtes relevées, face à leur destin, pour gagner des droits sur l’oppression. La boxe a son langage, dont la lecture n’a pas de frontière, si ce n’est celles dessinées par les cordes du ring. Aussi, pour Uppercut qui porte à la scène le combat d’un homme, il était évident de porter son langage et son esthétique sur scène.[...]

photo Requiem de Mozart

Requiem de Mozart

Musique, Concert

Marseille 13000

Le 17/06/2021

Festival Sacré-Orgue #2 "Comme la mort […] est l’ultime étape de notre vie, je me suis familiarisé depuis quelques années avec ce meilleur et véritable ami de l’homme, de sorte que son image non seulement n’a pour moi rien d’effrayant mais est plutôt quelque chose de rassurant et de consolateur." disait Mozart à son père avant d’écrire le Requiem. Ce calme face à la mort, on le retrouve tout au long du Requiem, messe pour les morts qui oscille entre accents terribles et tendres mélodies apaisantes et mélancoliques. D’autant qu’en 1791, cela fait plus d’un an que Mozart est gravement malade. Persuadé d’avoir été empoisonné à l’Aqua Tofana (un poison très lent) et sentant sa fin proche, c’est peut-être son propre Requiem - son propre hommage - que Mozart écrit, sa dernière confidence. Pierre Guiral à la direction et Luc Antonini à l’orgue interprèteront cet ultime chef-d’œuvre du compositeur. Pierre Guiral, Direction | Luc Antonini, orgue Choeur Région Sud | Raphaèle Andrieu, soprano solo | Christine Craipeau, mezzo-soprano solo | Camille Tresmontant, ténor solo | Raphaël Marbaud, basse solo Concert présenté par Marseille Concerts, en partenariat avec la Basilique[...]

photo Fake World

Fake World

Photographie - Vidéo, Nature - Environnement

Aix-en-Provence 13090

Du 05/02/2022 au 02/04/2022

La première proposition artistique de la galerie Parallax, pour cette année 2022, vous plongera dans des mondes parallèles : Fake World. Deux artistes photographes nous donneront à voir des visions de notre Terre… perturbantes. Jean-Marc Yersin capte un monde par des vues satellites et traduit par une intelligence non humaine dont émanent des aplats de couleurs synthétiques , des formes approximatives …des Métropolis virtuelles …Reconnaitrez vous les villes comme Paris , Lisbonne, Singapour, Hong Kong, Tokyo, Londres ? Sébastien Pageot se joue de notre appréciation du réel dans une photographie. L’artiste nous questionne sur l’empreinte de l’homme sur son environnement. En y intégrant des maquettes, nous perdons nos repères brouillant notre perception du paysage photographié. Quel est la part du réel dans l’image ? Conférence de Jean-Marc Yersin le 2 avril à 18h, suivi d'un cocktail.

photo Cycle à l'Institut de l'Image - Nous (et ) les animaux

Cycle à l'Institut de l'Image - Nous (et ) les animaux

Aix-en-Provence 13090

Du 04/03/2022 au 29/03/2022

Ou comment le cinéma a filmé, représenté, admiré et observé les bêtes, ainsi que leurs relations avec nous, les humains, et comment notre regard sur elles a pu changer tout au long de cette histoire Dès la fin du XIXe siècle, les travaux protocinématographiques d’Etienne-Jules Marey et d’Eadweard Muybridge visaient à comprendre, en le décomposant, le mouvement des animaux (Muybridge inventa d’ailleurs un jouet optique appelé le zoopraxiscope). Depuis, les animaux sont omniprésents au cinéma, toutes sortes d’animaux : mammifères, insectes, poissons, reptiles, etc. jusqu’à devenir des personnages à part entière, fidèles compagnons de l’homme (ou de l’enfant), dangereux prédateurs (Jaws), ou encore sujets d’étude (voir les hippocampes et autres pieuvres des films scientifiques de Jean Painlevé), sans oublier les toons issus des films d’animation (Bugs Bunny, Daffy Duck…). Animaux dressés, animaux sauvages, imaginaires (loup-garou), « faux » animaux (marionnettes, animatronique, animation image par image), hommes-animaux, composent ce bestiaire. ● Ma vache et moi – Go West (USA, 1925) 1h10 – DVD de Buster Keaton avec Buster Keaton, Brown Eyes… Le 4 mars à 18h15, le 9[...]